L’intégrité
un instrument d’intimité avec Dieu
Pasteur Moussa Koné
ADD Genève Montbrillant
Bonne écoute!
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Samedi 26 Septembre 2015
Dans cette première partie sur l’appel de Dieu, nous voyons que chaque enfant de Dieu est appelé à le servir d’une façon particulière. Nous voyons comment discerner notre appel, la nécessité d’être appelé avant de servir dans un ministère et l’importance de la confirmation de notre appel. Nous terminons avec les différentes sortes d’appel, les réactions de Gédéon à l’appel de Dieu ainsi que notre identité dans notre appel.
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Dans cette deuxième partie, nous traitons du lien entre nos dons et notre appel et des limites de notre appel. Nous concluons avec l’encouragement à garder un coeur de serviteur quelque soit notre appel et de rester actif spirituellement dans l’attente de la confirmation de notre appel.
Personne ne peut posséder tous les dons de l’Esprit. Ces manifestations s’inscrivent dans la nature même de l’église puisqu’ils existent pour son édification. De plus, les dons révèlent l’intention de Dieu pour son église : le service. N’oublions pas que les dons sont l’action d’une personne (l’Esprit) par une personne (le croyant) pour une autre personne (le frère en besoin). Que Dieu répande ses dons !
Samedi 26 Septembre 2015
Dieu appelle ses enfants à le servir de différentes façons. Et cet appel mérite une réponse de notre part. Mais comment comprendre et accepter l’appel de Dieu ? Moïse représente un exemple de comment nous préparer et nous attire vers l’appel sur notre vie. Et c’est en revisitant la vie de Moïse que Pasteur Gilles nous amène à comprendre l’exemple et à répondre aux appels de nos vies.
Église Évangélique Vie Nouvelle Paris
http://www.eevnparis.fr
EEVNTv
Samedi 13 février
Commençant par Moïse et par tous les Prophètes, [Jésus] leur expliquait,
dans toutes les Écritures, les choses qui le concernent.
Luc 24. 27
Sondez les Écritures, car vous, vous estimez avoir en elles la vie éternelle,
et ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
Jean 5. 39
La Loi donnée à Moïse pour le peuple d’Israël comprenait des commandements relatifs à la vie sociale et familiale. Voici, entre autres, ce que Dieu commandait à un maître au sujet de son serviteur:
“Si tu achètes un serviteur hébreu, il servira six années, et, la septième, il sortira libre, gratuitement. S’il est venu seul, il sortira seul; s’il avait une femme, sa femme sortira avec lui. Si son maître lui a donné une femme, et qu’elle lui ait enfanté des fils ou des filles, la femme et ses enfants seront à son maître, et lui, il sortira seul. Mais si le serviteur dit positivement: J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas sortir libre; alors son maître le fera venir devant les juges, et le fera approcher de la porte ou du poteau, et son maître lui percera l’oreille avec un poinçon; et il le servira à toujours.”(Exode 21. 1-6)
Derrière l’image du serviteur hébreu nous reconnaissons le Seigneur Jésus. Homme obéissant, lui seul a accompli la Loi: il aimait son Dieu. Parfait serviteur, il aurait pu sortir libre, c’est-àdire monter au ciel sans passer par la mort, mais il aurait été seul. Il n’aurait pas eu la compagnie d’une épouse, l’Église, cet ensemble de tous les véritables chrétiens. Alors il s’est laissé clouer à la croix par amour: il a payé le prix. Dieu a jugé sur lui les péchés de tous ceux qui croient.
1500 ans avant la venue de Jésus sur la terre, cette image nous renvoie à ce qu’a fait Christ pour l’Église.
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